Spiritualité et magnétisme

  Même sans l’avoir pratiqué, nous sommes très nombreux à avoir déjà entendu parler de l’acupuncture, cette méthode qui repose sur le travail des flux d’énergies par de fines aiguilles.    L’acupression est une méthode très similaire, mais qui ne nécessite aucun matériel. En effet, elle est considérée comme une thérapie manuelle, car il suffit de réaliser une ou plusieurs pressions avec le doigt, selon des points très précis pour libérer les flux énergétiques qui vont soulager le corps. Depuis 5000 ans, cette médecine traditionnelle chinoise est utilisée pour soulager la douleur, calmer les tensions nerveuses ou encore rééquilibrer l’organisme.    Au fil du temps, il a été découvert que différents points précis du corps pouvaient avoir des répercussions sur la douleur ou le fonctionnement des organes. Cette thérapie repose sur les cinq principes fondamentaux de la médecine chinoise, à savoir les 5 éléments, le Yin et le Yang, les méridiens et les points d’acupressions, qui expliquent c

  Tout au long de notre vie, notre organisme est fréquemment soumis au stress, qui peut se faire plus ou moins intense en fonction de notre caractère, de notre capacité d’adaptation et des événements vécus. Le stress survient alors lorsque nous avons du mal à réagir à la pression que nous subissons.    Qu’il soit bon ou mauvais, le stress est une réaction du corps qui nous permet d’avoir la capacité de répondre à une situation. Nous ne réagissons toutefois pas tous de la même façon. Le stress se manifeste par de l’irritabilité, des maux de ventre, une perte d’appétit, des maux de dos, des migraines, des mains moites… Mais le danger est surtout lorsque nous manifestons d’autres signes physiologiques tels que l’accélération du pouls ou du rythme respiratoire, l’élévation de la pression artérielle ou encore la contraction des muscles, et cela surtout sur le long terme, car le corps est mis en tension et est trop sollicité.    Le stress se manifeste en trois phases distinctes, la phase d’a

  Les tensions, la fatigue ou encore les aléas de la vie quotidienne peuvent avoir des répercussions sur notre métabolisme. Quel que soit le motif de notre fatigue, il est important de savoir écouter son corps pour mieux anticiper et limiter les douleurs physiques. En effet, lorsque quelque chose ne va pas, nous pouvons le voir ou le ressentir assez facilement, que ce soit parce que nous nous tenons mal, que nous dormons mal ou encore que nous respirons mal. Il s’agit alors de signes que nous devons nous écouter, avant que cela engendre des maux plus compliqués à gérer.    En effet, lorsque nous sommes las, que nous subissons trop de pression, nous avons tendance à mal nous tenir. Pourtant, une mauvaise posture peut générer des douleurs vertébrales et fragiliser le dos. De plus, le stress peut provoquer des tensions musculaires, notamment au niveau de la nuque et des épaules, qui, sur le long terme, peuvent avoir des conséquences durables sur le maintien du haut du corps. Notre rythme

  Il est souvent bien plus simple de nous laisser porter par un flot de pensées négatives envers nous-même lorsque nous manquons de confiance ou d’estime de soi. Lorsque nous manquons de confiance en soi, nous nous voyons rarement comme ce que nous voudrions être. Ces croyances limitantes de notre propre personne sont alors ancrées dans notre subconscient, à force de se le répéter sans cesse.    Le simple fait de se répéter quelque chose suffit à faire intégrer à notre cerveau que les choses sont réelles et que cela nous détermine. En effet, nous sommes le résultat de nos pensées. Notre réalité, nos actions ou encore nos prises de décision sont pilotées par nos pensées. Ainsi, si nos pensées nous tirent trop vers le négatif, alors notre quotidien sera empreint de négatif. Nous nous retrouvons alors dans une spirale négative, dont les événements négatifs ne feront que renforcer nos croyances négatives.    Les affirmations positives peuvent donc être d’une aide précieuse, car elles nous

  Le syndrome de l’imposteur   Découvert aux Etats-Unis à la fin des années 1980, le syndrome de l’imposteur touche certaines personnes qui réussissent parfaitement dans la vie, mais qui ne s’en attribuent pas le mérite. Il s’agit alors d’une forme de modestie poussée à l’extrême, qui est le signe d’un profond malaise. Même s’il est plus souvent présent dans la vie professionnelle, il peut se manifester également dans la vie personnelle. Il est alors difficile de quantifier réellement le nombre de personnes concernées, mais selon les différentes études réalisées, environ 70% de la population mondiale doutera un jour de ses propres compétences, et peut donc souffrir de ce syndrome de façon plus ou moins importante.    Ce syndrome est lié à une mauvaise estime de soi. Ainsi, en fonction des situations vécues, “l’imposteur” va se comporter de sorte à mettre en place des stratégies de travail pas toujours saines, à cause de sa peur de l’échec ou de l’angoisse d’une réussite inappropriée. S